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L’unité islamique

jeudi 23 décembre 2004

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Jamâl Ad-Dîn Al-Afghânî

Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux.

« Obéissez à Dieu et à Son Messager ; et ne vous disputez pas, sinon vous fléchirez et vous perdrez votre force. » [1]

L’unité islamique abrita le pouvoir de l’Islam entre le Maroc à l’ouest et Tûnâznî aux frontières de la Chine, et entre Fâzân au nord et Ceylan sous l’Équateur [2]. Des contrées contiguës et des territoires voisins, habités par les Musulmans qui y exerçaient un pouvoir incontesté. Le sceptre royal fut saisi parmi eux par des souverains grandioses, si bien qu’ils étendirent leur hégémonie sur presque tout le globe terrestre. Leurs armées étaient invincibles, leurs drapeaux toujours flottants, et aucune parole ne s’élevait au-dessus de la leur. Leurs citadelles et leurs forteresses étaient liées ; leurs plantations et leurs cultures, dans leurs plaines et leurs vallées, voyaient se côtoyer avec fierté toutes sortes de plantes, et étaient ornées de toutes sortes d’arbres. C’était l’œuvre des Musulmans. Leurs villes étaient densément habitées et étaient fondées sur les plus précieuses règles architecturales. Elles dépassaient en beauté les autres villes du monde, par les œuvres et les prouesses de leurs habitants. Elles les surpassaient par les soleils du mérite, par les instituts scientifiques, par les étoiles de la guidance, par ces hommes qui occupaient la première place dans les sciences et les lettres.

À l’est, il y avait, parmi leurs philosophes, Ibn Sînâ (Avicenne), Al-Fârâbî, Ar-Râzî (Rhazès) et leurs semblables. À l’ouest, il y avait Ibn Bâjah, Ibn Rushd (Averroès), Ibn At-Tufayl et leurs pairs. Et entre les deux, il y avait des régions entières où se bousculaient les pieds des philosophes, des médecins, des physiciens, des géomètres, et des savants de toutes les autres disciplines rationnelles. Ne parlons même pas des disciplines religieuses qui étaient répandues parmi toutes les classes de la Communauté islamique. Lorsque leur Calife `abbâside prononçait un mot, c’était l’Empereur de Chine qui s’y soumettait, et c’étaient les plus grands monarques d’Europe qui en tremblaient. Parmi les souverains de leur Moyen-Âge, on peut citer Mahmûd Al-Ghaznawî, Malikshâh As-Saljûqî, Salâh Ad-Dîn Al-Ayyûbî (Saladin)... À l’est, il y eut également des monarques tels Taymûr Al-Kurkân (Tamerlan), et à l’ouest des souverains comme le Sultan Muhammad Al-Fâtih (Mehmet le Conquérant), le Sultan Salîm, le Sultan Sulaymân Al-`Uthmânî (Soliman le Magnifique), tout autant d’hommes qui disparurent sans que les siècles n’oublient leur mémoire ni n’effacent leurs traces.

Les flottes musulmanes détenaient une autorité incontestée sur la Mer Méditerranée, sur la Mer Rouge et sur l’Océan Indien. Leur supériorité s’affirmait de manière absolue sur toutes ces eaux, et ce, jusqu’à une époque qui n’est pas encore très lointaine. Leurs adversaires étaient subjugués par leur empire de générosité et étaient soumis à leur autorité. Aujourd’hui, les Musulmans peuplent ces contrées qu’ils ont héritées de leurs ancêtres, et leur religion ne compte pas moins de quatre-cents millions de disciples. Avec tous les préceptes de leur religion dont se sont nourris leurs cœurs, ils sont, en toute contrée, les plus courageux des hommes et les plus prompts à vouloir affronter la mort. Ils éprouvent de ce fait le plus grand mépris pour la vie d’ici-bas et ils sont moins éblouis que quiconque par ses apparats trompeurs. Le Coran leur est venu avec ses versets explicites demandant aux hommes d’être en mesure de prouver la justesse de leurs dogmes, dénonçant ceux qui s’en tiennent à des supputations et à des chimères et prônant les vertus et les qualités morales. Il a ainsi déposé dans les esprits des Musulmans les ferments de la vérité et a semé dans leurs âmes les graines du mérite. Ces fondements religieux leur ont permis de développer des raisons plus éclairées, des esprits plus affûtés, des dispositions meilleures pour acquérir les valeurs suprêmes de l’humanité et une plus grande proximité vis-à-vis de la rectitude morale. Ils vont jusqu’à estimer qu’ils sont les plus dignes de l’honneur et de cette promesse énoncée dans leur Livre véridique selon laquelle ils auront la suprématie sur le monde entier, en dépit de l’aversion des imposteurs. Ils ne veulent être dominés par quiconque, et il ne traverse l’esprit d’aucun d’entre eux qu’il puisse être soumis à une autre autorité que musulmane, peu importe que cette autorité soit douce ou cruelle. La raison de cet état de fait réside dans la fraternité soutenue par les arguments développés par leur credo. Chacun d’entre eux considère ainsi que la chute de tout groupe de ses coreligionnaires sous la coupe des étrangers est synonyme de sa propre chute. C’est un sentiment éprouvé par son être et dont il lui est impossible de se consoler. En vertu des connaissances - dont les racines sont si profondément enracinées en eux - auxquelles les a guidés leur religion, et en vertu de la grande part qu’ils se sont taillé dans l’acquisition de ces connaissances à l’apogée de leur civilisation, ils s’estiment plus dignes que quiconque d’acquérir le savoir et d’accéder au mérite.

Telle était leur condition hier et telle est leur situation aujourd’hui. Mais malgré tout, ils s’arrêtèrent dans leur parcours et s’attardèrent même derrière autrui, au niveau des connaissances et des techniques, alors qu’ils avaient été les maîtres du monde dans ces domaines. Leurs royaumes commencèrent à se rétrécir et leurs frontières à reculer, et ce, bien que leur religion leur enjoigne de ne se soumettre à aucun pouvoir étranger. Plus encore, le plus grand pilier de leur religion consiste à se soustraire à toute domination étrangère, à la chasser hors de leurs terres et à disputer son autorité à tout détenteur d’une autorité. Oublièrent-ils la promesse divine selon laquelle ils hériteront de la terre, eux, les pieux serviteurs ? Oublièrent-ils que Dieu Se charge pour eux de leur donner la suprématie sur le monde entier, en dépit de l’aversion des criminels ? Oublièrent-ils que Dieu leur a acheté leurs personnes et leurs biens contre le Paradis, afin de rendre à Sa Parole sa naturelle suprématie ? Non ! Non ! Car les préceptes islamiques possèdent les cœurs des Musulmans et dominent leur volonté. Et face aux préceptes religieux et aux vertus légales, les masses comme l’élite sont sur un pied d’égalité.

Oui, à l’insuffisance dans le progrès scientifique et à l’affaiblissement de la puissance, il y a des causes dont la plus importante est la division des prétendants au pouvoir parmi les Musulmans. Nous avons montré en effet que les Musulmans n’ont d’autre nationalité que leur religion. La multiplication de leurs rois est donc équivalente à la multiplication des chefs dans une même tribu et à celle des sultans dans un même peuple, avec les divergences d’intérêts et les oppositions de desseins que cela entraîne. Ces prétendants occupèrent ainsi les idées du peuple par leurs querelles, et lui firent perdre son temps par leur affairement dans l’assouvissement de leur soif de pouvoir. Ces luttes intestines ne firent ainsi que les détourner des sciences et des techniques qu’ils avaient acquises, sans parler du manquement à leur devoir de recherche de celles qu’ils n’avaient pas encore acquises, ni de leur faillite dans l’ascension jusqu’aux cimes du progrès scientifique. La conséquence de cette attitude est le constat que nous pouvons faire aujourd’hui : la misère, le besoin, la faiblesse et le désordre. Les luttes entre les princes musulmans n’apportèrent que la division de la parole et la fracture du rang. Occupés par leurs divisions, ils en oublièrent que les étrangers se préparaient à les envahir.

Telle était la situation des princes musulmans, malgré la grandeur du préjudice, lorsqu’ils étaient encore seuls à dominer les champs de bataille, sans personne pour leur disputer leur suprématie. Mais la corruption s’empara totalement de ces princes au fil du temps. Leurs caractères furent gagnés par la cupidité et par l’avidité, si bien qu’ils suivirent leurs passions et se détournèrent des aspirations à la gloire authentique, se flattant pour quelque temps du prestige que leur concédaient leurs titres princiers, leurs surnoms royaux, leurs apparences pompeuses, leurs symboles d’orgueil, et leur aisance dans la vie. Ils choisirent de s’allier aux étrangers, qui n’étaient ni de leur religion ni de leur peuple, et en appelèrent à leur secours et à leur aide contre leurs propres coreligionnaires, et ce, afin de préserver ce fantôme périssant et ce paradis éphémère.

Voilà ce qui extermina les Musulmans d’Andalousie et qui démolit les piliers du sultanat timouride en Inde, sur les ruines et les vestiges duquel les Anglais ont bâti leur empire. C’est ainsi que les passions des imbéciles badinèrent avec les royaumes musulmans et que leurs aspirations impostrices les précipitèrent dans les gouffres de la faiblesse et de l’humiliation. Maudites soient leurs actions immondes, à ces gens qui ne pensent qu’à réaliser leurs plaisirs et qui ne s’occupent que de leurs désirs ! Ce sont eux qui divisèrent la Communauté, la ruinèrent, y arrêtèrent le progrès des sciences, et sclérosèrent les actions bénéfiques dans l’industrie, dans le commerce et dans l’agriculture, en usurpant les droits des Musulmans.

Que Dieu maudisse la cupidité pour ce bas-monde et l’avidité pour les bassesses ! Combien grand est leur préjudice et combien mauvaises sont leurs conséquences ! Ces princes musulmans se détournèrent de la Parole de Dieu et renièrent l’une de ses plus grandes prescriptions : ils se divisèrent alors que l’ennemi était à leurs portes. Leur devoir était pourtant de s’unir sous un même mot d’ordre, afin de repousser les agressions étrangères contre leurs territoires, puis retourner ensuite à leurs affaires. Qu’est-ce que leur apporta la démesure de leurs convoitises ou la concurrence pour des bassesses ? Elle leur apporta l’humiliation permanente dans la vie d’ici-bas, le malheur éternel dans la vie de l’au-delà, et une mémoire corrompue que les années ne sauraient effacer.

Par la Toute-Puissance du Vrai et la Sainteté du Juste, si les Musulmans avaient été laissés entre eux avec leurs principes et leur estime pour leurs savants actifs, ils se seraient retrouvés et se seraient unis spontanément. Mais hélas, ils furent infiltrés par ces corrupteurs qui ne voient leur bonheur que dans le titre de « prince » ou de « roi », et qui sont prêts à faire valoir leurs droits sur une carafe inerte. Ce sont ceux-là qui détournèrent les Musulmans de la direction vers laquelle Dieu leur avait demandé de se tourner. Ce sont eux qui se rebellèrent contre leurs rois et leurs califes et qui s’emplirent d’animosité les uns contre les autres, en raison des divergences de leurs intérêts.

L’accord et la conjugaison des efforts dans le but de renforcer le pouvoir islamique est l’un des plus grands piliers de la religion de Muhammad, et la croyance à cette union est l’un des principes fondamentaux chez les Musulmans. Ils n’ont besoin ni d’un professeur pour l’enseigner, ni d’un ouvrage pour la démontrer, ni d’articles pour la publier. À commencer par les bergers musulmans, et jusqu’aux classes supérieures de la société, les gémissements s’accentuent et les larmes coulent à flots devant l’ampleur des divisions et des divergences qui déchirent leur Communauté. N’était-ce l’existence de ces princes débauchés, assoiffés d’étendre leur pouvoir les uns sur les autres, les Musulmans se seraient tous réunis d’est en ouest et du nord au sud : tous auraient répondu à un appel unique. Pour préserver leurs droits, les Musulmans n’ont guère besoin de plus que d’être attentifs à maîtriser ce qui assure leur défense, de s’accorder pour mener ensemble cette défense lorsque la situation l’exige et de s’unir contre les dangers qui guettent la Communauté islamique.

Ne voit-on pas la nation russe ? Y trouvera-t-on quelque chose de plus par rapport à ces trois principes que nous venons d’énoncer ? Il s’agit d’une nation en retard dans les arts et les techniques relativement aux autres nations européennes. Ses territoires ne renferment pas de ressources naturelles, et même si celles-ci existent, les moyens techniques ne permettent pas de les exploiter. Les Russes sont une nation éprouvée par le besoin et la misère. Néanmoins, l’attention portée par quelques-uns d’entre eux à ce qui pourrait assurer la défense de leur nation, leur commun accord pour mener ensemble cette défense, et leur union à tous leur ont permis de constituer un Empire puissant devant lequel s’inclinent les poids lourds d’Europe. La Russie ne disposait pas de la plupart des machines de guerre, mais cela ne l’empêcha pas de les acquérir. L’art militaire ne s’y était jamais développé jusqu’au niveau atteint par ses voisins, mais cela ne la dissuada pas de faire venir des officiers étrangers pour former ses propres soldats, si bien que son armée est devenue aujourd’hui d’une puissance terrifiante, crainte par tous les pays européens. Pourquoi alors avons-nous été incapables d’imiter autrui, dans ce qui est pourtant d’une grande simplicité nous concernant, et vers lequel nous inclinons plus que quiconque, à savoir la préservation de la dignité de la Communauté, le sentiment de douleur dès que cette dignité est rabaissée et l’entraide pour sauvegarder l’unité panislamique contre tout ce qui voudrait la diviser ? Qu’est-ce qui a immobilisé la dynamique des idées ? Qu’est-ce qui a empêché les ardeurs de s’activer ? Qui, sinon ces riches gens qui ne pensent qu’à s’emplir la panse de mets succulents, qu’à se vautrer dans des lits moëlleux, qu’à ériger de gigantesques immeubles, qu’à se pavaner avec leurs serviteurs et leurs chevaux ? Dans leurs préoccupations, ils en viennent à oublier les lendemains ; ils attachent la plus grande des importances aux titres et aux cérémoniaux, flattés lorsqu’ils sont célébrés au cours des fêtes et des occasions diverses par des hochements de tête, des inclinations du buste et autres facéties par lesquelles on leur rappelle leur excellence et leur grandeur. Il en va de même lorsqu’ils signent des papiers officiels en y apposant des noms et des titres vides de tout sens. Pour préserver leurs apparences, ces ordures sont prêtes à agréer toutes les bassesses. Ils acceptent que chez eux, leurs ennemis adoptent des comportements que n’importe quel homme du commun refuserait d’accepter, au péril de sa vie. Ces gens-là sont devenus des fardeaux pour les Musulmans, empêchant ces lions de pourchasser leur proie, pis, les réduisant au point d’être dévorés par les chacals. Il n’y a de force et de puissance qu’en Dieu.

Ô héritiers des hommes, ô successeurs des héros, ô descendants des rois, avez-vous disparu ? Tout est-il perdu ? L’heure du désespoir est-elle venue ? Non ! Non ! Ne plaise à Dieu que l’espérance soit brisée ! D’Edirne à Peshawar, ce sont des pays musulmans aux terres contiguës et à la religion unique, rassemblés par le Coran, et dont la population ne compte pas moins de cinquante millions d’habitants. Ils se distinguent, parmi les populations de la terre, par leur courage et leur bravoure. Ne peuvent-ils alors pas s’accorder pour se lever tous ensemble et aller de l’avant, à l’instar des autres nations ? S’ils s’accordaient, cela ne serait nullement une innovation de leur part, puisque l’accord de la nation est l’un des fondements de leur religion. Leurs sentiments sont-ils si engourdis qu’ils ne parviennent même plus à ressentir les besoins des uns envers les autres ? Chaque Musulman n’a-t-il pas pour devoir de considérer son frère comme Dieu le lui a prescrit lorsqu’Il dit : « Les croyants ne sont que des frères » [3] ? Les Musulmans ne doivent-ils pas ériger leur unité en tant que barrage les protégeant des déluges déferlant sur eux de toutes parts ?

Je ne suis pas en train de dire que le détenteur du pouvoir doit être une personne unique, car cela peut s’avérer difficile. Mais je souhaite néanmoins que tous soient dominés par une autorité unique qui est le Coran, que le mobile de leur unité soit la religion et que chaque dirigeant fournisse tous ses efforts pour préserver les autres dirigeants, car sa propre survie et sa propre pérennité sont conditionnées par celles des autres. Car en plus d’être une prescription religieuse, cette union est dictée par la nécessité et l’urgence du moment.

L’heure de l’union est arrivée ! L’heure de l’union est arrivée ! Le temps vous apporte des occasions : saisissez-les et ne les manquez pas ! Les pleurs ne ressusciteront pas les morts. L’affliction ne corrigera pas le passé. La tristesse ne repoussera pas le malheur. Seul le travail est la clé du succès. Seules l’honnêteté et la sincérité sont les marches de la réussite. La crainte rapproche la mort. Le désespoir et la passivité sont des causes du trépas. « Et dis : "Œuvrez, car Dieu va voir votre œuvre, de même que Son Messager et les croyants, et vous serez ramenés vers Celui qui connaît bien l’invisible et le visible. Alors Il vous informera de ce que vous faisiez" » [4]. Ne soyez pas parmi ceux dont « l’élan répugna à Dieu, si bien qu’Il les rendit paresseux. Et il leur fut dit : "Demeurez avec ceux qui demeurent" » [5]. Prenez garde à ne pas être concernés par le verset où Dieu dit : « Il leur plaît d’être de ceux qui sont restés à l’arrière. Et Dieu a scellé leurs cœurs, si bien qu’ils ne comprennent pas » [6]. Le Coran est vivant et ne périra jamais. Quiconque reçoit une partie de sa bénédiction est un être béni, et quiconque reçoit une partie de sa malédicition est un être maudit. Le Livre de Dieu ne saurait être abrogé : retournez-y donc ! Faites de lui le juge de vos affaires et de vos actions. « Et Dieu, certes, n’est pas inattentif à ce que vous faites. »

Pourvu que les princes musulmans soient désormais avertis du sort de leurs prédécesseurs, afin qu’ils puissent rectifier le leur avant qu’il ne soit trop tard et qu’ils ne soient emportés par les calamités qui se sont abattues sur les négligents qui les ont précédés. Notre souhait est que le premier cri d’appel à l’union et au réveil après ce long sommeil, émane des princes les plus prestigieux et les plus puissants. Nous ne doutons pas que les savants actifs achèveront la plus grande partie de ce noble travail. Dieu guide qui Il veut, et Il est le Détenteur éternel de toute chose.

P.-S.

Traduit de l’arabe d’un article de Jamâl Ad-Dîn Al-Afghânî, paru dans la revue Al-`Urwah Al-Wuthqâ et disponible en ligne sur le site Alwihdah.com.

Notes

[1Sourate 8 intitulée le Butin, Al-Anfâl, verset 46. NdT

[2Nous essaierons, dans la mesure du possible, de retrouver les noms courants des régions que Jamâl Ad-Dîn Al-Afghânî désigne par Tûnâznî et Fâzân. NdT

[3Sourate 49 intitulé les Appartements, Al-Hujurât, verset 10. NdT

[4Sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah, verset 105. NdT

[5Sourate 9 intitulé le Repentir, At-Tawbah, verset 46. NdT

[6Sourate 9 intitulé le Repentir, At-Tawbah, verset 93. NdT

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