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Défense du dogme et de la loi de l’Islam contre les atteintes des orientalistes

Préface de la cinquième édition

vendredi 7 février 2003

Lorsque ma main s’est posée sur Le dogme et la loi de l’Islam de Goldziher, j’ai nourri le désir de lire une étude satisfaisante. D’après ce qu’on nous avait dit, l’auteur était en effet un orientaliste prestigieux d’une grande érudition. Et ceux qui avaient traduit son ouvrage étaient en outre un groupe d’éminents professeurs.

Mais il est illusoire de m’attendre de la part d’un orientaliste à une étude dépourvue de défauts. Car c’est là une chose en contradiction avec la mission même de l’orientalisme, qui prépare le terrain à la colonisation occidentale et orientale, tout comme les chars préparent le terrain aux fantassins dans les arts de la guerre !

Mon ultime souhait était de lire une étude contenant beaucoup de choses justes, peu d’erreurs, et des menées discrètes ou rusées.

Mais à peine avais-je fini de lire les premières pages que des doutes s’emparèrent de mon esprit. Et en suivant l’auteur, je fus saisi d’étonnement. Finissant de me plonger dans la lecture, la chose se manifesta à mes yeux claire comme le jour.

Cet homme voulait se rendre à Alexandrie en partant du Caire. Il tourna alors son visage en direction de l’Equateur et partit à grandes enjambées sans savoir où il allait !

Chacun de ses pas ne faisait que l’égarer davantage et l’éloigner de la destination finale qu’il s’était initialement fixée. Qu’il ralentît ou qu’il accélérât l’allure, qu’il marchât droit ou qu’il trébuchât, ses efforts ne lui étaient d’aucune utilité. Goldziher, dès les premières lignes de son livre, n’avait pas le moindre soupçon d’impartialité scientifique.

Il se trompait dans ses citations, dans sa compréhension et dans ses jugements. Que le lecteur veuille bien m’excuser si je dis : à plusieurs reprises, j’ai combattu le sentiment de mépris pour cet homme, mais j’ai échoué devant la quantité impressionnante de confusion et de vagabondage de l’esprit qui s’offrait à mes yeux, devant le nombre incommensurable de fois où j’ai espéré, dans chaque chapitre de son livre, qu’il dirait une seule vérité désintéressée.

Et dans ma réponse à cet orientaliste, j’ai voulu rappeler les vérités scientifiques qui éclairent ce qui l’a aveuglé ou ce qui lui a échappé.

Bien que mon capital dans le débat avec mon adversaire soit justement constitué de ces vérités scientifiques et historiques nécessaires, j’ai néanmoins décidé de le considérer avec les attributs qu’il mérite, et ce, pour deux raisons :

  1. L’orientalisme est un nouvel ordre sacerdotal qui se vêt de l’habit de la science et de la recherche désintéressée, alors que cet ordre est bien loin de l’esprit scientifique détaché. L’écrasante majorité des orientalistes sont en réalité payés pour humilier l’Islam, défigurer sa beauté et le calomnier.
  2. Un grand nombre d’intellectuels dans nos pays ont permis à ces gens de prétendre à des positions qu’ils ne méritent sûrement pas. Ils ont été capturés dans leurs filets et ce sont leurs convictions et leurs idéaux qui ont été sapés.

Il n’y a donc plus d’autre issue que de les démasquer et de les présenter au grand jour dans leur réalité mise à nu.

Je m’excuse de refuser la préface rédigée par le Docteur Muhammad Yûsuf Mûsâ pour ce livre et son auteur. Il dit à la page 5 [1] :

« Cet ouvrage est une étude détaillée de l’Islam sous toutes ses facettes : celle de son Prophète, celle de la loi et de son développement, celle du dogme et de son évolution, celle de l’ascétisme et du soufisme, de leur apparition et des facteurs qui les ont influencés, celle des différentes sectes musulmanes, puis enfin celle des mouvements rénovateurs récents tels qu’ils sont conçus par leurs tenants.

L’auteur s’appuie dans chaque chapitre de son livre et dans chacune de ses leçons sur un grand nombre de sources islamiques authentiques dont son intelligence sagace et sa vision perçante lui permettent de nous faire profiter.

Néanmoins, il a commis des erreurs non négligeables, pour des raisons parmi lesquelles le fait de n’avoir pu saisir avec exactitude l’esprit de l’Islam, ses principes et ses fondements. Il se peut également que parmi ces raisons, il y en ait une tout à fait naturelle qui est que toute personne d’une religion et d’une culture données possède une certaine fibre patriotique pour sa religion et sa culture. »

Puis il dit à la page 6 [1] :

« Avec tout ceci, nous espérons que nous aurons accompli une partie de notre devoir vis-à-vis de l’Islam et des études islamiques, afin de pourvoir la bibliothèque arabe des meilleurs écrits occidentaux à ce sujet. Nous prions Dieu ne nous accorder le succès. »

En vérité, ce livre est l’un des pires jamais rédigés sur l’Islam et l’un des pires à lui avoir jamais porté atteinte. Les quelques notes de bas de page qui ont été rajoutées dans la traduction arabe n’étaient que des barrages de bien piètre résistance devant les vagues déferlantes de calomnie et d’agression.

Cet orientaliste est l’un des piliers les plus retors de l’orientalisme. Nul doute qu’il a beaucoup étudié la littérature islamique. Mais depuis qu’il a lu et écrit, il ne porte plus en lui qu’une conscience bourrée de récusation de l’Islam. Il plante ses doigts partout et prend tout ce qui lui passe par l’esprit comme une preuve que Muhammad est un menteur, que son Coran est forgé de toutes pièces, que sa tradition est une légende et que l’intégralité de l’Islam — depuis son avènement jusqu’à aujourd’hui — n’est qu’un ramassis de mensonges.

Un homme dont la raison et la passion sont ainsi teintes de ce principe absolu ne mérite pas l’inclination que l’on doit aux hommes de science. Et c’est pour cette raison que j’ai dit que malgré tous mes efforts, je ne suis pas parvenu à le respecter.

La meilleure description que l’on puisse faire de lui et de ses semblables est celle du Professeur Ahmad Fâris Ash-Shidyâq :

« Ces orientalistes n’ont pas reçu la science de la part des maîtres de science. Ils y ont seulement fourré leur nez et se sont jetés dessus.

Celui qui en tient quelque chose le tient des prêtres. Puis il introduit sa tête dans des billevesées ou alors il introduit des billevesées dans sa tête. Il s’illusionne de connaître quelque chose alors qu’en réalité, il l’ignore.

Dès que l’un d’eux a étudié une langue orientale ou en a traduit quelque chose, on le voit dès lors frapper à l’aveuglette tout ce qui se trouve sur son passage. Ce qu’il ne comprend pas, il lui déniche une interprétation de son propre cru, et ce qu’il n’est pas sûr d’avoir compris, il lui invente des conjectures et des présomptions, préférant ce qui n’est pas préférable et favorisant ce qui n’est pas favorable. »

L’orientaliste hongrois a rédigé son livre sur l’Islam sur la base d’une participation à l’activisme américain porté sur le soutien du Christianisme, et sur la base de la réponse à une demande formulée par l’une des commissions qui œuvrent dans ce domaine.

Depuis que les Américains sont entrés dans le domaine de l’évangélisation et de l’orientalisme, ils ont permis aux forces ennemies de l’Islam d’acquérir encore plus de violence et de détermination. Ils les pourvoient en outre d’un flux continuel de moyens financiers et humains. C’est ainsi que ces forces ont pu poursuivre leur attaque scientifique et leur habile propagande. De notre côté, nous savons qu’il est du droit d’autrui de s’attacher à sa religion et de la prêcher, ainsi que d’accueillir ceux qui s’y convertissent avec bonheur et félicité.

Néanmoins, nous posons à ce droit une unique condition : c’est qu’il soit exercé par des moyens honnêtes et explicites.

Nous nous élèverons ainsi fermement contre toute malversation des dogmes des autres, que ce soit par la tentation ou par la terreur, par l’usage de la tromperie et du mensonge ou de la ruse et de la corruption.

On peut nous rétorquer : Mais la guerre est une ruse, et ces orientalistes et ces évangélistes ne font rien d’autre que combattre, au nom de leur religion, les autres religions. Ils ont tout de même le droit de servir leurs principes par n’importe quel moyen.

Nous répondons : Qu’il en soit ainsi... Mais dans ce cas, laissez-nous mettre à nu leurs intentions, et diriger vers eux tous les projecteurs.

Laissez-nous prévenir les gens de cet hôpital qui profite de la faiblesse de ses patients et de leur déséquilibre mental pour leur inculquer les principes d’une religion qu’ils abhorrent.

Laissez-nous combattre cet institut qui prétend relever le niveau scientifique et servir la civilisation humaine, alors qu’il enracine les principes d’une religion dont les étudiants de cet institut ne veulent pas et qu’ils refusent d’embrasser.

Laissez-nous porter à la connaissance des masses ces livres et ces revues dont les auteurs prétendent qu’ils se placent au-dessus du fanatisme religieux et que leur objectif ultime est la recherche de la vérité.

Si l’on suit leurs discours et leurs agissements, on remarque qu’ils sont victimes d’un fanatisme exacerbé, et que leur objectif premier et dernier est de détourner les Musulmans de leur religion par les moyens les plus trompeurs et les plus hypocrites.

Nous considérons que les vipères rampantes sont d’un moindre mal que les vipères humaines, celles-là mêmes qui dissimulent leurs caractères perfides derrière des visages souriants et une hospitalité généreuse.

Dès que l’occasion se présente, elles vident leur trop-plein de venin dans les corps de leurs victimes prises au dépourvu.

Nous avons été éprouvés par des dizaines voire des centaines d’évangélistes et d’orientalistes, ainsi que par de milliers de leurs disciples enchantés. Nous avons donc décidé de matérialiser les fins auxquelles aspirent les uns et les autres, de les présenter au vu et au su de tous afin que les ignorants et les inexpérimentés sachent qu’ils sont face à une croisade scientifique non pas similaire, mais bien plus dangereuse que les Croisades qui ont visé, voici mille ans, à envahir l’Islam, à détruire ses capitales et à en détourner ses masses.

Et comme nous parlons d’un orientaliste qui aide par ses écrits l’activisme évangéliste américain, nous devons savoir que cet activisme est l’axe sur lequel évoluent les universités américaines au Caire, à Beyrouth et à Istanbul.

Cet activisme a été dérangé par les circonstances, si bien qu’il a fini par se démasquer à Beyrouth, lorsque les étudiants musulmans se sont révoltés contre les tentatives d’évangélisation qu’ils subissaient, et l’obligation qu’on leur imposait de se rendre quotidiennement à l’église.

L’administration de l’université a dit dans une circulaire décrivant la nature de cet institut et de ses semblables :

« Ces universités sont chrétiennes, fondées grâce à l’argent d’un peuple chrétien. Ce sont eux qui ont acheté le terrain, ce sont eux qui ont construit les bâtiments, ce sont eux qui ont créé l’hôpital et qui l’ont équipé. Cette fondation ne pourrait subsister si ce ne sont eux qui la soutiennent. Tout cela, ce sont eux qui l’ont fait, afin de créer un enseignement dont l’Evangile serait une des disciplines, afin de présenter les bienfaits de la vérité christique à tous les élèves. Tout étudiant qui entre dans l’une de nos fondations doit donc savoir à l’avance ce qu’on attend de lui. » [2]

Le Conseil d’administration de l’université déclare par ailleurs au cours de cette occasion :

« Cette université n’a pas été fondée pour un enseignement laïque ni pour répandre de hauts préceptes moraux. Son objectif premier est d’enseigner les grandes vérités contenues dans la Thora, et d’être une source de la lumière du Christ et de l’influence chrétienne, afin d’annoncer cela aux gens et de le leur recommander. » [3]

Mais les responsables de l’évangélisation ont rapidement pris conscience de cette erreur. Ils sont donc revenus à leur travail à l’ombre de l’obscurité et de la dissimulation. Ils ont refusé de marquer leurs activités par le sceau explicite de la chrétienté, cherchant à parvenir à leurs fins sous des slogans pompeux tels que le renouveau, l’art, la renaissance, la liberté, etc.

Et c’est sous des dénominations de concepts cahotants qu’il leur a été possible — à travers la presse — de causer à l’Islam et à ceux qui le prêchent des dégâts importants. Le Docteur `Umar Farrûkh dit dans son livre L’évangélisation et la colonisation, rapportant les propos des comptes rendus des conférences d’évangélisation :

« Les évangélistes annoncent qu’ils ont usé de la presse égyptienne en particulier, pour exprimer les idées chrétiennes, plus qu’ils n’ont pu le faire dans n’importe quel autre pays musulman.

De nombreux articles ont paru dans un grand nombre de journaux égyptiens, payés dans la plupart des cas, non payés dans des cas rarissimes. »

Notre bataille contre cette presse ne s’apaisera pas, tant qu’elle demeurera une scène propice à ces machinations anti-islamiques et un terrain favorable à l’attaque des prédicateurs et des défenseurs de l’Islam.

Une conférence évangéliste s’est tenue à Rome cette année et a identifié de nouveaux plans pour une nouvelle attaque contre le monde musulman. Cette conférence a confié à l’armée des évangélistes et des orientalistes la charge de réaliser ces objectifs, dans l’obscurité et non au grand jour, et en utilisant tous les moyens susceptibles de mener les Musulmans à abandonner leur foi, sans tumulte, sans vacarme et sans douleur.

Tout au long de la marche de cette armée méfiante et dissimulée, on peut voir ses membres qui se surveillent les uns les autres. Qui sait ? Peut-être que l’un d’eux serait amené à écrire une étude sur l’Islam sous l’insigne de la neutralité scientifique, et que cette neutralité s’empare de lui, si bien qu’il finit par rendre justice par un mot à cette religion !

Mais si cela arrive, des cris fusant de toutes parts le prennent à partie pour qu’il demeure sur le droit chemin !

Le Docteur Muhammad Al-Bahiyy dit :

« Ils sont attentifs à tout mouvement pouvant faire obstacle à leur marche ou perturber leurs plans. Si l’un d’eux fait mine de neutralité ou se libère quelque peu du joug du fanatisme, on voit le restant des orientalistes qui se pressent devant lui, réclamant qu’il fasse preuve d’ « objectivité », de mise en œuvre des méthodes scientifiques et d’un esprit critique de haut niveau [...]. »

On peut citer à titre d’exemple les critiques d’Alfred Guillaume concernant le livre de Montgomery Watt, Muhammad à la Mecque. Guillaume avait ainsi attaqué Watt car celui-ci s’était détaché de la ligne traditionnelle des orientalistes sur certains plans (conférer page 138 de la revue Al-Islâm parue le 15 avril 1958).

Ni la raison ni la logique ne connaissent de limite à ce dont les orientalistes sont capables en termes de réécriture de l’Histoire Islamique, de déformation des principes et de la culture de l’Islam et de présentation de données fausses sur la religion et sur ses adeptes. Les orientalistes emploient également tous leurs efforts pour tenter, par tous les moyens, de rabaisser le rôle accompli par l’Islam dans l’Histoire de la civilisation humaine.

Tous les orientalistes ont ce point commun de la querelle agressive, et la différence entre eux — s’il en est une — réside seulement dans le degré de leurs querelles. Les uns sont en effet plus fanatiques contre l’Islam que d’autres, les uns ressentent plus d’inimitié pour l’Islam que d’autres, mais nous n’aurons pas colporté une fausse rumeur si nous disons que tous sont les ennemis de l’Islam [4].

Si l’orientalisme s’est initialement levé grâce au soutien des prêtres et des évangélistes, puis qu’il a ensuite pris contact avec les colonisateurs, alors aujourd’hui, il s’appuie sur les uns et les autres, même si la plupart des orientalistes n’aimeraient pas que leur réalité soit dévoilée et préfèrent se dissimuler derrière divers slogans et diverses dénominations.

Pourrait-on dès lors nous reprocher d’avoir décidé de déraciner ces orientalistes de leur terrain, de déchirer les écharpes qu’ils s’enroulent autour du visage, et de les défier en face à face sur le champ de la polémique scientifique ?

Ils veulent saper l’Islam. Pourquoi nous, aurions-nous des scrupules à saper leur édifice à la base ? !

Ils veulent profiter des droits réservés au chercheur impartial, des droits réservés au savant qui s’efforce de trouver la vérité mais à qui il arrive de se tromper. S’ils étaient réellement des amoureux de la connaissance désintéressée, la recherchant avec frénésie et dévouement, nous aurions excusé celui d’entre eux qui se tromperait, nous n’aurions pas fait cas de son trébuchement, nous l’aurions aider à se relever et à poursuivre sa recherche et ses efforts...

Mais comme ils ont déclaré la guerre, perfides comme ils sont, faisant mine de bonté afin de mieux s’immiscer et prendre pouvoir, alors tant s’en faut que nous ne les combattions par leurs propres armes.

Autre chose...

Les idées de ces orientalistes ont été adoptées par des gens de chez nous, parlant notre langue, laissant apparaître qu’ils sont de notre religion mais qui font la publicité de ces idées, comme si elles étaient l’aboutissement de leurs propres réflexions et le fruit de leur propre raisonnement.

Toutes ces tentatives pour détourner les Musulmans de leur religion nous obligent à ne faire preuve d’aucune pitié dans la destruction des équivoques que ces orientalistes soulèvent. Nous écrirons sans relâche contre ces idoles fracassées, même si leurs adorateurs sont pris de panique et qu’ils se mettent dans tous leurs états.

Nous nous sommes attardés sur les sujets où cet orientaliste et ses semblables ont fait preuve de ténacité. Car nous ressentons que leurs propos trouvent des échos chez les victimes de l’invasion culturelle dont souffrent nos pays...

Notre but est de révéler la vérité...

... de lui redonner sa dignité bafouée...

... et d’inculquer à l’agresseur une leçon qui servira d’exemple à ceux qui auraient l’idée de l’imiter.

Par ailleurs, ma réponse sera également vouée à une autre finalité bien plus importante que d’affirmer la vérité sur une question donnée. Cette finalité est de révéler l’Islam dans son intégralité, là où l’équivoque a été soulevée et là où une opposition est née...

Muhammad Al-Ghazâlî

P.-S.

Traduit de l’arabe aux éditions Nahdat Misr, cinquième édition, 1988.

Notes

[1Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî fait ici allusion à la traduction en arabe du livre de Goldziher, Le dogme et la loi de l’Islam. NdT

[2At-Tabshîr wa Al-Isti`mâr (L’évangélisation et la colonisation) du Professeur `Umar Farrûkh, page 108.

[3Ibid, page 109.

[4Conférer les revues et les livres susmentionnés, en particulier la revue du monde musulman éditée en langue anglaise The Muslim world, Al-Islâm éditée en anglais à Karatchi (Pakistan) — aux numéros de février, mars, avril et mai 1958 — et le résumé de Dâ’irah Al-Ma`ârif Al-Islâmiyyah.

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