samedi 10 décembre 2005
D’après les savants du Hadîth, la sunnah se subdivise en trois catégories selon sa nature : la sunnah verbale, la sunnah pratique, et la sunnah approbative. [1]
Traduit de l’arabe du livre de Dr Ahmad `Umar Hâshim, As-Sunnah An-Nabawiyyah wa `Ulûmuhâ, éditions Gharîb, ISBN 977-172-232-8.
[1] Usûl Al-Fiqh du Professeur Mohammad Abû Zahrah, page 105.
[2] Rapporté par Ash-Shâfi`î dans Al-Umm, volume 4, p. 27 ; par At-Tirmidhî, volume 2, p. 16, aux éditions Bulâq, d’après le commentaire d’Al-Mubârakfûrî, volume 3, p. 189 par la voie de Ismâ`îl Ibn `Ayyâsh, At-Tirmidhî commenta : « Hadîth bon et authentique » ; dans Fath Al-Bârî volume 5, p. 278, dans Musnad Ahmad, volume 5, p. 267 ; par Abû Dâwûd, volume 3, p. 73, Ibn Mâjah, volume 2, p. 83, toutes ces références par la voie d’Ismâ`îl Ibn `Ayyâsh. L’Imâm Ahmad dit : « La narration d’Ismâ`îl Ibn `Ayyâsh d’après les Syriens (Ash-Ashâmiyyûn) est authentique. » Ibn Hajar commenta dans Fath Al-Bârî : « Ce récit appartient à ses narrations d’après Shurahbîl Ibn Muslim, qui est un Syrien fiable ; la chaîne de narration est donc authentique et sans faille. » Ce hadîth fut également rapporté par An-Nasâ’î, volume 2, p. 128 par la voie de Qatâdah avec une légère différence et par Ad-Dârimî, volume 2, p. 301 revu par M. `Abd As-Salâm Yamânî.
[3] Rapporté par Ibn Mâjah d’après Jâbir, volume 3, p. 3, par Al-Hâkim dans Al-Mustadrak, volume 2, p. 4 qui le déclara authentique selon les critères de Muslim, et par Al-Mundhirî dans At-Targhîb, volume 3, p. 7 avec la mention de l’authentification d’Al-Hâkim de ce hadîth.
[4] Al-Muwatta' p. 124, aux éditions du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques. Az-Zurqânî dit dans son commentaire Sharh Al-Muwatta’, volume 2, p. 92 : `Abd Ar-Razzâq a assuré la continuité de sa transmission avec une chaîne de garants authentique d’après `Atâ’ d’après un homme Ansârite. Il fut également rapporté par les deux Sheikhs (Al-Bukhârî et Muslim) : Fath Al-Bârî, volume 4, p. 131, par Muslim dans son Sahîh, volume 1, p. 305 selon `Umar Ibn Abî Salamah. Une variante similaire fut rapportée par l’Imâm Ahmad, dans son Musnad, volume 5, p. 43 et dans Majma` Az-Zawâ’id, volume 3, p. 166, Al-Haythamî commenta : Ses narrateurs sont ceux du Sahîh, et par Ad-Dârimî, volume 1, p. 345, avec un énoncé similaire, version revue par M. `Abd Allâh Yamânî.
[5] Rapporté par Abû Dâwûd d’après Abû Sa`îd Al-Khudrî, volume 1, p. 93, édition revue par le Professeur Mohammad Muhyî Ad-Dîn, et dans Subul As-Salâm, volume 1, p. 97, par An-Nasâ’î.
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