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Chagrins d’un prédicateur
Section : Des obstacles présumés devant l’Islam

Des conceptions qui éloignent l’Européen moyen de l’Islam

jeudi 3 août 2006

Mais malgré cela, l’Islam demeure éloigné des Européens. D’après ce que j’en ai lu, ils en sont rebutés pour trois raisons :

  1. La cruauté de ses lois,
  2. Sa position concernant la prohibition de l’intérêt,
  3. Sa position vis-à-vis de la femme et du régime familial.

Je voudrais consigner ici quelques vérités ayant trait à ces trois raisons.

La cruauté présumée des lois islamiques

Ils prétendent que les lois de l’Islam sont cruelles. Que penser de cette assertion lorsqu’on sait que ces lois sont les mêmes que celles que possèdent les Juifs et les Chrétiens dans la Bible ? Ils répondront : « Bien que la lapidation des adultères soit mentionnée dans la Thora, nous l’avons tout de même abandonnée en raison de son caractère cruel et violent, tout comme nous avons abandonné la loi du talion, dont l’application constitue une chose horrible ! » Je ne veux pas leur répondre qu’ils n’ont pas à blâmer l’Islam pour un élément que l’on retrouve dans leur propre Bible. Je veux simplement leur demander : « Qu’avez-vous gagné en reniant le talion et en abolissant la peine de mort ? Vous n’avez fait que rendre service aux criminels et donner libre cours à la violence, dans la plus laide de ses expressions ! »

J’ai lu récemment ce fait divers parvenu de Londres sous le titre « Prison à vie pour trois Britanniques accusés d’avoir découpé leur victime en tranches ». Trois hommes, un fossoyeur, un concierge et un ouvrier, ont attiré la victime chez l’un d’eux pour lui extorquer son argent. Après l’avoir frappée à la tête avec une machette, ils ont découpé le corps en tranches à l’aide d’une scie électrique utilisée pour découper la viande, et ce, alors que la victime était encore vivante ! Puis ils ont éparpillé les morceaux de chair humaine près d’une décharge publique. En voyant le sang de la victime couler depuis les portes de la maison, des voisins ont donné l’alerte. Une femme a également fait savoir à la police que les meurtriers l’avaient invitée à venir déguster de la viande savamment préparée ! Le procès de ces assassins a duré deux mois. L’une des séances du procès a dû être reportée lorsque les jurés ont ressenti des nausées à la vue de photographies de restes humains, qui constituaient peu auparavant un homme vivant pour lui-même et pour sa famille.

Comment ont été rétribués ces criminels ? Par la prison, où ils pourront se gaver et se saoûler jusqu’à leur belle mort. L’exécution de telles personnes serait une tare pour laquelle l’Islam est pointé à l’index, et qui justifierait que l’on cherche à en rebuter les gens !

Quittons l’Europe pour les États-Unis où le juge du tribunal d’Atlanta a condamné à la prison à perpétuité un criminel accusé d’avoir assassiné vingt-huit jeunes Noirs, qu’il a méthodiquement abattus, l’un après l’autre, sur une durée d’environ un an.

Le journal qatari Ar-Râyah rapporte : « La vague de meurtres a cessé après l’arrestation du suspect. La terreur qui s’était emparée de la ville a également pris fin. » L’État doit désormais nourrir ce criminel jusqu’à la fin de ses jours, parce que le talion serait une tare. L’Islam entérinant cette tare, il n’est pas permis de l’embrasser ! Est-ce là ce qui satisfait les Pères de l’Église ?

Lorsque l’erreur commise est un trébuchement involontaire inaccoutumé, ou un effondrement soudain d’une volonté humaine animée par de bonnes intentions, l’Islam vient soutenir la personne qui a trébuché pour l’aider à se relever et la personne qui s’est effondrée pour l’aider à tenir ferme. Les conditions posées par l’Islam pour l’application des peines corporelles et du talion viennent confirmer cette vérité [1].

En revanche, si le vice se transforme en attitude ordinaire vécue sans la moindre honte, alors l’autorité publique a le devoir en Islam de le sanctionner, par la lapidation ou la flagellation par exemple. Je ne puis imaginer une turpitude commise devant les yeux de quatre hommes, sauf comme un comportement de bête sauvage vivant dans quelque jungle ou dans quelque terrain vague. Comment peut-on s’étonner que l’Islam fasse preuve de sévérité pour empêcher la prolifération d’un tel fléau ?

Les peines corporelles ne s’appliquent pas en cas de doute. Chez certaines écoles juridiques, elles ne s’appliquent pas non plus en cas de repentir. La justice est plus à même de savoir avec clairvoyance dans quels cas la violence se justifie et dans quels cas c’est la clémence qui doit prévaloir. Ce qui importe, c’est de prémunir la société contre la pérennité de la corruption et l’outrepassement des interdits !

Le talion a été légiféré pour sa part pour préserver la vie, non pour donner la mort. L’abolition du talion n’a fait qu’accroître l’effusion de sang, le mépris du droit à la vie et la propagation de l’insécurité.

Il est étonnant de constater comment le colonialisme culturel a amené un certain nombre de Musulmans contemporains à avoir honte des lois sur les peines corporelles et le talion, et à préférer voir le monde musulman devenir une piste de danse publique, où se développent toutes les bassesses, ou une scène où des sauvages trouveront de multiples occasions pour agresser et assassiner, comme nous l’avons rapporté au sujet de certaines villes !

C’était là un bref aperçu sur la sévérité des sanctions pénales islamiques, dont on dit qu’elles participent à rebuter les gens de l’Islam, ou que les missionnaires chrétiens prétendent être des objets de critique !

La question de l’intérêt

Quant à la question de l’intérêt, on peut en dire autant. L’intérêt est-il licite dans la Thora et l’Évangile ? Certainement pas ! L’Islam n’a pas innové lorsqu’il a prohibé l’intérêt : il n’a fait que réaffirmer l’interdiction déjà formulée dans les anciennes révélations ! Les Juifs et les Chrétiens savent pertinemment que l’intérêt est condamné par leurs religions respectives. Les Juifs ont retenu ce caractère condamnable dans leurs transactions intra-communautaires, mais se sont donné carte blanche pour abuser illégalement des biens des autres.

Les Chrétiens les ont suivis dans cette déviance et ont rendu l’intérêt licite, alors qu’auparavant, il était prohibé. Au fil des siècles, la condamnation de l’intérêt a totalement disparu, au point que de nos jours, cette pratique est devenue l’un des fondements de l’économie mondiale. Aucune notion de péché ne lui est désormais associée !

Lorsque les pays européens ont aidé la Pologne à se redresser, lui octroyant des prêts très importants, j’ai pensé que ce soutien relevait d’un sentiment de solidarité dicté par la fraternité chrétienne. Car en Pologne, la population est très conservatrice et très proche de son Église, en déphasage total par rapport au pouvoir communiste [2]. N’oublions pas non plus que le Pape est lui-même d’origine polonaise [3] !

Mais, manifestement, je me suis trompé. L’Occident pratiquait bel et bien l’usure avec une population dans le besoin. Et quelle usure ? Monsieur Mahmûd Sayf Ad-Dîn écrit dans la revue Al-Iqtisâd Al-Islâmî (L’économie islamique) : « La Pologne est au bord d’un terrible désastre, après avoir été incapable de rembourser les 500 millions de dollars d’intérêts sur les dettes de la seule année 1981. Elle a été contrainte à emprunter 350 millions de dollars supplémentaires pour pouvoir rembourser les intérêts dus en cette année catastrophique. »

Un banquier et créancier anglais a déclaré qu’il aimerait que les Soviétiques occupent la Pologne afin que les garants russes lui payent les intérêts qui lui sont dus !

Ces propos sont clairs : l’argent est plus important que la religion et la liberté du peuple polonais. Le plus étonnant est qu’aucun responsable catholique n’a daigné rappelé aux politiciens et économistes occidentaux que l’intérêt est illicite ! Cette prohibition a complètement disparu de tous les esprits ! Les hommes d’Église sont plus occupés par l’éradication de l’Islam en Afrique et en Asie, et n’ont guère le temps de penser au licite et à l’illicite.

Les Musulmans ont toujours considéré l’intérêt comme l’un des péchés les plus graves qui soient. Malgré les défaites subies par l’Islam, notre conscience religieuse persiste à rejeter l’intérêt, peu ou prou.

Mais cette position passive, dans un monde dynamique, ne vaut pas grand-chose. Les gens tomberont inéluctablement dans l’illicite, si nous ne leur facilitons pas la voie et ne les poussons pas de toutes nos forces vers le licite. Il était du devoir des Musulmans de proposer des transactions alternatives non usuraires, et d’ériger pour ce faire des institutions altières. Quoiqu’il en soit, et comme il vaut mieux tard que jamais, ils se sont enfin réveillés : les banques islamiques ont commencé à apparaître par-ci par-là.

Certaines personnes s’imaginent que cette expérience des banques islamiques résoudra immédiatement tous les problèmes. C’est une erreur, car entre la théorie et la pratique, il y a une distance dont seul le temps peut venir à bout. D’autres personnes veulent au contraire adopter n’importe quel slogan. C’est aussi une erreur, car autant l’Islam est-il un innovateur dans le domaine du culte — comme le rappelle Ibn Al-Qayyim — autant n’est-il qu’un rénovateur dans le domaine des relations humaines. L’important pour l’Islam est de prémunir les hommes contre la flouerie, l’escroquerie et les abus.

Lorsque nous aurons réussi à mener à bien nos projets, c’est-à-dire à garantir des revenus licites et à épurer les bénéfices de l’intérêt, alors nous pourrons changer toute l’économie mondiale. Partant, j’appelle tous les détracteurs qui guettent le moindre faux pas de ces jeunes banques islamiques à craindre Dieu et à soutenir ces institutions financières jusqu’à leur succès.

La femme et la famille en Islam

Parmi les questions qui rendent l’Islam suspect aux yeux de l’Europe, il reste encore la question de la femme.

L’on prétend en Europe que l’Islam rabaisse la femme et porte atteinte à sa dignité. La vérité est pourtant que les femmes occidentales ne peuvent refuser les préceptes de l’Islam qui découlent du Coran, de la Tradition prophétique et de la pratique des premières générations de Musulmans.

Y compris en ce qui concerne la polygamie ! J’ai lu dans les propos de certaines femmes allemandes que la polygamie est préférable et plus noble que la relation extra-conjugale. D’ailleurs, après la Seconde Guerre mondiale, les Allemands ont failli promulgué des lois autorisant la polygamie, et ce, dans le but de résoudre la crise démographique due à l’important surplus de femmes. Mais l’Église est intervenue pour s’opposer à une telle mesure et empêcher le vote de la loi.

Les femmes raisonnables considèrent que l’entretien par le père ou par l’époux est préférable et plus noble que de demander à la femme de s’entretenir elle-même, à partir de sa majorité ou plus tard. La femme se trouve confrontée à de rudes épreuves au cours de son travail, ou lorsqu’elle doit parcourir des kilomètres pour assurer sa subsistance !

À chaque fois que je prends l’avion, je regarde avec tristesse ces jeunes filles qui travaillent. Je me dis : Pourquoi ne serions-nous pas servis par des hommes au lieu de ces jeunes filles ? Elles accomplissent un rude travail, se déplacent entre des capitales éloignées et passent la nuit loin de leurs familles ! Choisir des femmes pour ce type de travaux n’est pas la marque d’une quelconque humanité. C’est même plus proche d’un comportement animal, même si on leur fait porter le titre d’hôtesses de l’air.

L’Islam entend élever la femme au-delà de ce niveau !

Pourtant, nombreuses sont celles que terrifient les traditions islamiques dont elles entendent parler, ou dont elles connaissent des exemples dans les différentes contrées islamiques. Je ne suis pas en train de défendre ces traditions, ni de leur donner mon assentiment !

Ainsi toute femme pratiquant une religion donnée a-t-elle le droit de se rendre à son lieu de culte. Seule la femme musulmane est interdite de pénétrer dans une mosquée, parce que les traditions lui ont imposé de ne pas participer aux prières en congrégation ! Dans des dizaines, voire des centaines de milliers de mosquées, à la ville comme à la campagne, on n’aperçoit l’ombre d’une femme !

Comment est-ce possible, lorsque l’on sait que les femmes qui accompagnaient le Prophète ne cessèrent un jour d’aller à la Mosquée, que les rangs des femmes ne cessèrent d’être remplis, que ce soit du temps du Prophète ou de celui des Califes Bien-Guidés ?

L’Islam est une chose, les directions que prennent les gens dans leur rapport à la femme en est une autre. Nul doute que cela nuit à l’Islam et peut donner à notre époque un coup d’arrêt à son message !

Je parcourais la vie de Usâmah Ibn Munqidh, jeune héros qui combattit vaillamment les croisés, les Assassins [4] et les sectes ésotériques qui firent leur apparition au cours du Ve siècle hégirien. D’après sa biographie, c’était un aventurier tenace. Sa famille possédait une citadelle dans les alentours de Hamâh, où ils pouvaient se réfugier.

Ce Usâmah partit un jour pour prendre part au combat dans une bataille et s’absenta durant une longue période de la citadelle familiale, laissant derrière lui sa mère et sa sœur. Qu’arriva-t-il après son départ ? La mère distribua des épées aux combattants qui allèrent se positionner pour défendre la forteresse. Puis elle vint voir sa fille, lui demanda de s’habiller et la fit s’asseoir dans un balcon donnant sur une profonde vallée. La mère prit position près de la porte, scrutant la situation et attendant la suite des événements !

Après avoir accompli son devoir, Usâmah rentra à la citadelle. Lorsqu’il chercha ses armes, il ne les trouva pas. Il demanda alors à sa mère : « Où sont les épées ? — Je les ai données à ceux qui nous défendront, lui dit-elle. J’ai pensé que tu ne rentrerais jamais. »

Il leva ensuite les yeux vers sa sœur et la découvrit assise au bord de la vallée. Il demanda : « Que fait ma sœur ici ? — Je l’ai installée dans le balcon, répondit la mère, et je me suis installée moi-même à portée de vue, de sorte que si l’ennemi parvenait jusqu’à nous, je la précipiterais au fond de la vallée. Mieux vaut pour elle de mourir que d’être capturée par ces mécréants. » Usâmah Ibn Munqidh dit : « Je remerciai ma mère pour avoir bien agi. » La sœur remercia également la mère lui disant : « Que Dieu te récompense ! »

En lisant cette histoire, j’ai plongé dans les abysses de mes souvenirs. La mère veut se reposer, reposer sa fille et sa famille de l’opprobre de la captivité, en précipitant sa fille dans un gouffre béant. Le fils remercie la mère et la fille donne son plein assentiment !

Je me suis rappelé le vers du poète qui dit :

Tabghî hayâtî wa abghî mawtahâ shafaqan *** Wal-mawtu akramu nizâlin `alal-harami

Elle voudrait que je vive et, par compassion, je voudrais qu’elle meure. Car la mort est le destin le plus digne pour les choses sacrées. [5]

Telle était la position de l’honneur dans notre vie et notre histoire. C’est une position sur laquelle il nous faut veiller. Mais pourquoi cette noble sœur n’a-t-elle pas été entraînée à se battre, afin qu’elle devienne comme Safiyyah Bint `Abd Al-Muttalib qui descendit de la forteresse pour tuer un Juif qui rôdait autour, puis qui laissa à Hassân Ibn Thâbit le soin de le dépouiller de ses armes, ayant elle-même été trop timide pour dépouiller un homme mort [6] ?

La femme doit apprendre à se battre pour défendre sa terre, son honneur, sa religion et sa vie ! Nous avons négligé cela tout comme nous avons négligé de faire en sorte qu’elle s’attache, pour le culte, à se rendre à la mosquée !

Je ne suis pas en train d’appeler à l’enrôlement des femmes dans l’armée, même s’il est vrai que les enfants d’Israël enrôlent leurs femmes pour se préparer à un jour qui viendra où ils auront affaire à nous ! En effet, avant de faire appel aux femmes dans l’armée, il faudrait déjà que les millions d’hommes qui n’ont pas encore effectué leur service militaire accomplissent leur devoir ! Mais je voulais néanmoins attirer l’attention sur ce décalage entre notre religion et notre vie réelle, un décalage susceptible d’influer sur le parcours et le message de l’Islam, un décalage qui amène certaines personnes à accuser l’Islam de mépriser la femme [7].

P.-S.

Traduit de l’arabe du livre de Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî, Humûm Dâ`iyah, éditions Nahdat Misr, troisième édition, décembre 1998.

Notes

[1Pour ce qui est de la peine de mort en particulier, l’islam donne à la famille de la victime la possibilité de pardonner au meurtrier, si telle est leur volonté, mais il ne les prive pas automatiquement du droit de voir le meurtrier recevoir un juste châtiment, si son crime est établi au-delà du moindre doute. NdT.

[2Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî a écrit ce livre au tout début des années 1980, lorsque les pays d’Europe de l’Est étaient encore sous régime communiste. NdT.

[3Il s’agit d’une allusion au Pape Jean-Paul II. NdT.

[4Les Assassins (hashshâshîn en arabe) étaient une secte shî`ite ésotérique, dont les fidèles consommaient le hashîsh, et qui se rendirent célèbres par leurs actes de banditisme contre ceux qui ne partageaient pas leurs vues. C’est de là que le terme français « assassin » tire son étymologie. NdT.

[5Ces vers ont été dits par le poète abbasside Ishâq Ibn Khalaf, dans une ode dédiée à sa fille bien-aimée Umaymah. Dans un monde où les femmes sont l’objet de continuelles vexations et humiliations, Ishâq Ibn Khalaf pleure le sort qui attend sa fille si elle devient orpheline. Il dit préférer la voir morte que de la voir en proie à la misère et au rabaissement. Dans la psychologie arabe, la fierté et l’honneur passent bien avant la vie. L’on préfère mourir dans la dignité plutôt que de vivre dans le déshonneur. NdT.

[6Safiyyah Bint `Abd Al-Muttalib était la tante paternelle du Prophète. Réfugiée dans une forteresse à Médine pendant la bataille du Fossé, en l’an 5 de l’Hégire, alors que les hommes étaient au front, elle aperçut un homme juif qui rôdait autour de la forteresse, probablement en éclaireur, pour vérifier qu’il n’y avait plus de garnison musulmane dans la ville. Elle prit une arme et descendit de la forteresse pour le tuer. Cet acte de bravoure empêcha la ville d’être prise, puisque voyant que leur éclaireur ne revenait pas, les Juifs et leurs alliés considérèrent qu’une garnison musulmane était bel et bien présente à l’intérieur de la ville et qu’il était donc risqué de donner l’assaut. NdT.

[7Sheikh Muhammad Al-Ghazâlî a dédié l’un de ses ouvrages au thème de la femme en islam intitulé Les problèmes de la femme entre traditions stagnantes et traditions étrangères dont nous proposons de nombreux extraits. NdT.

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